Qu’ils se rendent aux urnes ou qu’ils les boudent, c’est maintenant aux Roumains et non plus à leurs seuls gouvernants d’écrire la suite du feuilleton qui a porté la marmite politique à pleine ébullition en une poignée de semaines. Dimanche, les électeurs sont convoqués par référendum pour avaliser, ou non, la destitution du président Traian Basescu, 61 ans, un ancien capitaine de marine au populisme assumé, votée le 6 juillet par une écrasante majorité de parlementaires.
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